30 août 2012
Qui voit Ouessant...
Lever aux aurores, limite malade en mer, marcher marcher marcher, découvrir l'immensité du vide sauvage, petites maisons paumées dans les fougères, moutons, côtes balayées par la mer. Avoir du mal à réaliser qu'on est vraiment là, au bout du monde, dur de penser qu'on devra retrouver les foules parisiennes... Me faire des promesses, à moi toute seule, puis à lui...
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