18 décembre 2006
Venise toujours
OUFFF j'ai fini Les Bienveillantes, mon pensum, ce pavé, lourd physiquement et psychologiquement, j'en sors avec un goût amer dans la bouche, abasourdie par la noirceur, la force, le délire onirique de la fin, bref, je suis épuisée... En plus, je suis...